Il faut toujours croire en ses rêves d’enfant

Voici mon troisième roman, édité le 24 juin 2020. Il constitue la suite de : Les cadeaux du cœur et Le rêve des îles. Comme les deux autres, il peut être lu indépendamment.

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RETOURS DE LECTURE :

— Un roman humaniste, toujours aussi juste dans les émotions des personnages qui vivent avec leurs fêlures, leurs zones d’ombre et leurs rêves. L’écriture est fluide, légère, pour parler de choses parfois graves comme le handicap. Il y a de l’espoir dans les romans de Corinne et des forces pour affronter la vie et ses vicissitudes. Une belle âme se cache dans ses mots. Valérie L

— Et voilà, on est à la fin de cette belle trilogie qui m’a tant émue.J’avoue que c’est triste d’abandonner des personnages qui nous ont donné tellement d’émotions et de bonheur, mais c’est la vie, et c’est la vie que Corinne nous raconte.De sa manière douce, délicate, comme un pinceau sur la toile où on applique les couleurs de l’âme. C’est ce que fait un véritable écrivain, et Corinne est une véritable écrivaine. Maintenant on va attendre ses prochains ouvrages qui, je suis sûre, nous vont offrir encore du bonheur. Lidia M-P

— Très beau roman écrit avec le coeur si sensible de Corinne . Lorsque vous le commencez ,vous ne pouvez pas vous arrêter dans votre lecture .Nous retrouvons les personnages si attachants des deux premiers tomes et nous y découvrons des Secrets de famille bien cachés L’héroïne nous fait fondre en larmes tellement Corinne la fait vivre en nous .La fin est magnifique .Vous pouvez me croire ce roman et sa superbe couverture vous enchanteront . Monique S

— Voilà un nouveau roman écrit avec délicatesse où l’amour vit. Je vous invite à découvrir où à re-découvrir son auteure véritable magicienne des mots ! Michelle N

— Suspense et émotions sont aux rdv dans ce roman, toujours aussi bien écrit par cette écrivaine que j’affectionne tout particulièrement, je vous le conseille. Elisabeth D-M

—  » Il faut toujours croire en ses rêves d’enfant » fait suite à « les cadeaux du cœur » et « Le rêve des Iles ». Comme à chaque fois rien que le titre est une invitation non pas à lire mais à dévorer ces pages qui vous transportent dans un ailleurs beau, passionnant et rempli de bonheur et d’amour. Comme on se sent bien en compagnie de ces personnages ! Merci Corinne Falbet-Desmoulin…. et je ne dirai qu’une chose : « A quand le prochain roman? » Michelle P

— Je viens de terminer la trilogie de Corinne Falbet-Desmoulin avec « il faut toujours croire en ses rêves d’enfant » .. et c’est déjà une grande nostalgie de quitter ces délicieux personnages.. je m’étais attachée à mes héros depuis le premier opus « les cadeaux du coeur », .. ET .. j’ai voyagé avec eux dans « le rêve des îles » ..A noter que le handicap de Violaine est traité avec tact et positivité .. les autres acteurs sont des bulles de gentillesse et d’humanité . Pas facile dans des histoires qui s’entremêlent d’écrire avec des mots fluides, sensibles et authentiques ; mais Corinne y arrive à la perfection !! Le spleen nous envahit avec une fin inattendue, tout comme une histoire d’amour qui s’achève .. Danièle L

— J’ai terminé tout dernièrement la lecture de « Il faut toujours croire en ses rêves d’enfant ». J’y ai retrouvé les qualités formelles des deux ouvrages précédents: une écriture nerveuse et souple, épurée et précise, au service d’une peinture riche et nuancée des sentiments et de la psychologie des différents personnages, réels ou imaginaires.L’entremêlement des tranches de vie des uns et des autres rend l’ouvrage d’une lecture agréable, et constitue une manière originale de conduire le récit, comme c’était le cas dès le premier tome dont l’épilogue m’avait « scotché » comme je vous l’avais expliqué à l’époque…En fait, j’ai ressenti la conclusion du troisième tome – avec la disparition de Violaine et ce que fait ensuite Ernesto – comme un écho à celle du premier tome et au « couple « Violaine -Romane ». « La boucle est bouclée » en quelque sorte, et la trilogie tient donc pleinement la route. Je pense néanmoins qu’un quatrième tome aurait été superflu, car les trois romans vous ont permis d’explorer substantiellement et en nuances la psychologie, le passé et les « non dits » des différents protagonistes. Félicitations pour cette histoire de famille, très originale par sa construction et par le déroulé du récit, et tout à fait attachante par sa profonde résonance humaine, sans effets mélodramatiques trop appuyés. Philippe V

— Juste un petit mot sur le dernier roman de Corinne Falbet-Desmoulin : « Il faut toujours croire en ses rêves d’enfant » pour vous conseiller de le lire. L’éditrice du personnage principal Violaine écrit : « …Cet ouvrage est sans aucun doute son meilleur livre. Un diamant, que les lecteurs vont s’arracher. » Je ne sais pas dire mieux, après avoir découvert ce troisième roman qui clôture des phases de vie intense. L’auteure nous prend par la main, et nous fait découvrir une femme « rêveuse et cartésienne » qui apprend peu à peu à peindre son existence, et à partager la vie de ses personnages. Un superbe projet clôture l’écrit, à vous de le découvrir. Alain M

— Un super super livre ! C’est super émouvant, on se dit que c’est ça, la vie, le bonheur, quand même le tragique crée de la bonté…Je n’ai pas lâché le roman du week-end. L’histoire est vraiment belle ! Et les personnages sont si attachants ! Et l’histoire dans l’histoire… Anne C

— Je viens de finir ce joli roman, que je conseille pour sa simplicité, son style limpide, ses personnages si attachants qui nous ressemblent. Une lecture apaisante, dans l’air du temps. Dominique L

— Whaouahhh, je viens de terminer le livre de Corinne FALBET-DESMOULIN  » Il faut toujours croire en ses rêves d’enfants  » et j’en suis toute remuée. Que d’émotions, de sentiments divers ! Je n’aime pas dévoiler un livre aussi je vous laisse le découvrir. Juste dire que j’aimerais bien avoir les murs décorés de la jolie chambre décrite par Corinne. Merci pour ce bon moment de lecture. Eliane R

— Sitôt arrivée à la maison, j’ai lu ton 3ème tome d’une traite… comme d’habitude. Tu as le don de séduire et retenir tes lecteurs !J’ai beaucoup aimé retrouver l’alternance des voix et la construction en abîme, du livre dans le livre, comme dans les 2 premiers tomes. Tu es vraiment adroite pour qu’on ne s’y perde pas !La psychologie des personnages est très fine.C’est bien la fin de la trilogie mais les rêves continuent : chapeau ! Françoise B

— Beaucoup de poésie, une écriture fluide…Un livre plein d’émotion et de suspense… Michelle D-N

— Si vous avez envie de vous envoler vers un monde meilleur, plus humaniste, de légèreté, de poésie, vous pouvez suivre les écrits de Corinne Falbet Desmoulin.Ce livre est le dernier tome d’une trilogie. On suit Violaine depuis ses débuts d’écrivaine et en simultané, le récit qu’elle nous conte.Dans ce tome, on se réjouit pour elle car beaucoup de surprises l’attendent. Mais l’auteur a l’art du retournement de situation et nous surprend encore et toujours.À travers la grâce, la fluidité de son écriture et tous les bons sentiments, l’auteur parvient toujours à traiter des sujets de société qui lui tiennent à cœur comme le handicap, les secrets de famille, l’amour, l’amitié.Encore beaucoup d’émotions dans ce dernier tome.Une belle trilogie que je recommande vivement pour se réconcilier avec l’humain et pour la douceur qui s’en dégage. Colette J

— « Il faut toujours croire en ses rêves d’enfant »
Ce livre m’a plus, captivée, surprise, amusée et touchée… l’histoire de Violaine « c’est la vie » et croire en ses rêves c’est croire en soi, réelle source de joie … Lisez un vrai moment de bonheur . Jacqueline J-W

— Au-delà des difficultés et handicaps des personnages, cette trilogie est emplie de Vie, de joies, de bonheurs fugaces ou durables, avec des rebondissements inattendus ou inespérés. Tout ceci exprimé de par votre écriture fluide, simple et précise, ornée de poésie. Révélant, Corinne, vos multiples valeurs. Ellen S-V, psychiatre

— Un troisième tome à la hauteur des précédents ! C’est avec plaisir que j’ai retrouvé les personnages des deux romans précédents, en particulier Violaine, ici l’héroïne principale, cette soixantenaire malentendante qui avait écrit l’histoire d’un couple et de leurs deux enfants partis en Polynésie. Comme dans ses précédents tomes, l’auteure alterne les points de vue des uns et des autres, nous permettant ainsi de pénétrer leurs plus secrètes pensées. Ici, l’accent est mis sur le présent d’écrivaine de Violaine, contactée par une maison d’édition. Mais des menaces la ramènent à son passé, ainsi qu’une rencontre… Quel est ce secret douloureux enfoui dans sa mémoire ? Je vous laisse le découvrir.Tous ceux qui ont aimé les deux romans qui précèdent ne manqueront pas d’apprécier ce dernier (?) opus, écrit avec la même justesse et sensibilité qui caractérisent la plume de l’auteure. Florence J

— J’ai retrouvé avec bonheur Violaine, Romane, Gabriel, Emma .. (il faut toujours croire en ses rêves d’enfant) .. leurs difficultés les rend toujours plus attachants !! que de suspense pour Violaine et l’inaccessible Emma, et le jeune Gabriel avec son humour bien « trempé », si réaliste. Beaucoup de situations incertaines pour tous !! j’adore !! à bientôt Corinne pour la suite de mon enthousiasme !! Danièle L

— Bonjour,
Je ne sais comment vous remercier pour de si bons moments passés en compagnie de cette lecture agréable. D’une part, vous avez pensé à juste titre que notre vue baissait et, d’autre part, grâce aux prénoms à chaque paragraphe je m’y retrouvais facilement. ET bravo pour ce final !
Amitiés.
Maryse C

— j. ai adoré l votre livre… à commencer par la couverture, l. écriture qui nous transporte de personnage en personnage… que du bonheur… continuez à nous émerveiller. Myriam B

— J’étais un peu désemparée de quitter mes personnages et de méditer sur cette fin inattendue .. Beaucoup de nostalgie m’a envahie .. et il m’est toujours impossible, dans ces cas là, de me lancer dans une autre lecture… Tout comme une histoire d’amour qui se termine …. merci Corinne pour cette magnifique saga et ce dernier tome, avec vos mots toujours fluides, sensibles et si authentiques. Danièle L


CHRONIQUES DE BLOGUEURS :

Fabienne E , sur Babelio : ! Coup de coeur !
Quel bonheur de retrouver Violaine, l’héroïne de Corinne Falbet-Desmoulin, dans ce roman qui suit « Les cadeaux du coeur » et « Le rêve des îles » !
La plume de Corinne Falbet-Desmoulin reste belle et soignée, ce qui ajoute au plaisir de ma lecture.
Alors que j’avais été conquise par le premier roman, le deuxième m’avait moins séduite pour des raisons très personnelles (Je vous renvoie à ma critique sur ce point).
Dans ce troisième roman qui clôture cette trilogie, l’auteure nous entraîne dans une double intrigue. Je n’en dirai pas davantage sur le suspense que je vous laisse découvrir. Pour ma part, j’ai été complètement envoûtée par l’histoire et par toutes les émotions que l’auteure a pu transmettre.
Au final, il s’agit d’une trilogie à ne pas manquer.

Une très belle CHRONIQUE D’ALOUQUA : Le Monde Enchanté De Mes Lectures :

Si cette nouvelle parution de Corinne Falbet-Desmoulin est normalement la suite de « Les cadeaux du cœur » et « Le rêve des îles« , il faut savoir qu’il peut se lire sans avoir lu les précédents, bien que je trouve cela dommage de ne pas avoir l’entièreté de l’histoire, il faut savoir que c’est entièrement possible, et que cela ne vous empêchera pas de comprendre le récit.

Un des gros avantage de l’auteure, c’est qu’elle n’a absolument pas besoin d’en faire des tonnes, en allant à l’essentiel, elle rend ses personnages tellement humains, tellement attachants, tellement comme des personnes que nous connaîtrions réellement et pas simplement à travers les pages d’un livre ! L’auteure écrit de manière naturelle, tout simplement, et cela fonctionne à merveille à chaque fois que j’ai pu lire un de ses livres.

Il y a certains auteurs, comme Corinne, avec qui je n’hésites même pas le centième d’une seconde avant de dire oui lorsque j’ai la possibilité de découvrir un nouveau titre. En poussant un peu ma réflexion et en cherchant un qualificatif pour l’auteure, je pourrais dire qu’elle est tout simplement humaine et débordante d’ondes positives, que ses livres ont une force entre leurs pages qui nous fait dire que ce monde n’est peut-être pas si désespéré que ce que l’on pense. L’auteure apporte cette note de fraîcheur et de douceur dont nous avons tous clairement besoin dans ce monde qui part en vrille.

Violaine et Ernesto vont me manquer, sans oublier Romane, Célestin et Emma… Oh mon dieu comme je les aime et comme ils me manquent déjà alors que je referme mon livre !

Si vous n’avez jamais lu de parution de cette auteure, je ne peux que chaudement vous la recommander, personnellement, je dis déjà oui pour son prochain livre, je sais que je ne serai pas déçue, peu importe ce qu’elle y racontera, il est impossible que je n’apprécie pas la découverte.

Merci à Corinne Falbet-Desmoulin.

— CHRONIQUE DE LARA LEE LOUKA :

Lara Lee a lu il faut toujours croire en ses rêves d’enfant de Corinne Falbet-Desmoulin

Publié le 15 Septembre 2020 par Lara Lee Lou Ka Catégories : #2020, #LIVRES LUS EN 2020

Mon avis

Encore une fois, Corinne Falbet-Desmoulin m’a enchantée avec sa plume. En retrouvant les personnages des deux précédents opus, je savais déjà que j’allais aimer cette nouvelle aventure… Et même si les larmes me sont venues quelques fois au bord des yeux, je ne retiendrais que de la positivité de cette belle lecture lumineuse. La grande sensibilité de l’auteur est omniprésente dans ce récit qui fait que sa plume touche le cœur de ses lecteurs…et le mien.

Un livre, comme les deux premiers opus, à lire sans aucune modération.

— LES CHRONIQUES DE SANDRA : https://linstantdeslecteurs.blogspot.com/2020/08/il-faut-toujours-croire-en-ses-reves.html#more

« Quand on a tant de plaisir à plonger dans une lecture doudou… »

Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous invite à vous plonger dans une de mes lectures doudou ! Oui, cette trilogie (qui peut se lire dans n’importe quel sens) je l’aime. Alors quand Corinne (Merci ma belle pour ta confiance et ton amitié) m’a proposé de poursuivre mon voyage, je n’ai pu que sauter de joie.

Il subsiste dans cette version de toutes petites coquilles mais qui n’empêche pas du tout le flots de positivité, de douceur, d’empathie et de vie. Nous retrouvons nos amis désormais, Violaine, Ernesto puis Romane et Célestin. Un petit monde gravite autour de notre couple Parisien. Un autre dans lequel nous projette Violaine à travers les romans qu’elle écrit. Grâce au succès de ses deux premiers tomes, elle est remarqué par une éditrice de renom. Celle-ci lui propose de l’édité et comprend complètement son handicap. Violaine perd de plus en plus l’ouïe et cela l’empêche d’évoluer dans sa vie, comme elle le souhaiterait. Mais son entourage montre l’empathie nécessaire pour diminuer cette différence. Violaine n’est pas au bout de ses surprises ! La notoriété va lui apporter son lot de découvertes !

Mes Loulous, je ne vous en dévoilerai pas plus sur l’histoire de cet opus. Je ne peux que vous garantir, et il vous faudra me croire sur parole et la foi du Bibou, que c’est un livre qui clôt la trilogie en apothéose ! Corinne est resté fidèle à elle-même, à ses personnages aussi. Tous ont évolués ensemble, le lectorat dont je fais parti également. On retrouve avec grand plaisir les touches de gentillesse, d’humanité et d’amour de la vie dans cette histoire. Les personnages sont touchants, vrais, profonds et tellement attachants !

L’écriture de Corinne n’a plus rien à prouver, elle nous emporte avec elle et c’est comme une bulle de douceur qui s’ouvre, un moment suspendu qui n’appartient qu’à nous et aux personnages de ce livre. On vit, on vibre, on ressent tous les sentiments, toutes les émotions qui animent cette histoire. Les sujets brûlants d’actualité nous permettent encore plus de s’ancrer dans le flot de cette rivière de vie. Nos rêves nous font avancer. Ils nous permettent de garder espoir, de relever la tête et d’espérer. De tenter, d’oser, de pousser des portes et gravir des montagnes. Et en effet, c’est là où le titre prend tout son sens… Une fin en apothéose… Oui, voilà, Il ne pouvait en être autrement.

Les Loulous, je vais vous laisser sur cette note de douceur car j’ai le cœur au bord des yeux. Il me tarde de relire les deux autres opus pour pouvoir prolonger un peu ce bien-être dans lequel ils me plonge. L’auteure a à cœur de rendre ses écrits accessibles aux malvoyants. De ce fait, ses livres sont édités en caractères un peu plus gros et les lignes un peu plus espacées. J’apprécie cette attention alors je la remarque ici.

Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je ne peux que vous recommander « Il faut toujours croire en ses rêves d’enfant » de Corinne Falbet-Desmoulin et plus largement sa trilogie avec les deux précédents opus « Les cadeaux du cœur » et « Le rêve des îles ». C’est tellement… Je ne sais pas comment dire… Doux, beau, empathique sans chichi que pour moi, ce sont des lectures doudou ! Alors n’hésitez pas une seconde…

😉


Je connais la plume de Corinne Falbet-Desmoulin, mais je n’ai pas lu les deux premiers tomes de cette trilogie. Comme le dit l’auteur, le lecteur peut très bien découvrir ce troisième opus sans avoir vu les deux premiers. C’est vrai, mais je le regrette un peu.

Cette histoire est très émouvante et très prenante. Elle est écrite par une main douce qui trace tout en délicatesse le parcours de Violaine.

Violaine est une écrivaine malentendante, mais ce n’est pas vraiment le sujet, il est abordé, sans s’y attarder. Oui, elle rencontre des difficultés pour aller au-devant de son public, d’ailleurs elle le craint, mais quand son éditrice lui propose un contrat, même avec appréhension, elle accepte, parce qu’elle veut faire plaisir aux gens et les rendre heureux. C’est le fil conducteur du roman. L’amour est partout, le bien d’autrui aussi, le bonheur qui se découvre peu à peu, la peur, l’aveu, que de beaux sentiments qui ne peuvent laisser la lectrice que je suis indifférente.

Corinne Falbet-Desmoulin a le don de vous embarquer avec des mots simples dans son univers et dans celui de ses héros. La lecture est agréable, touchante. J’ai eu l’impression d’assister à un film qui se déroule, tranquillement, sans un bruit, comme dans la vie de tous les jours. Les chapitres s’enchainent naturellement toujours à la première personne, alors que les acteurs changent. Que ce soit Violaine, Romane, Ernesto, tous parlent en leur voix propre, à l’instant, qu’il soit gai ou triste.

Certains passages m’ont bouleversée, je vous laisse les découvrir, mais la chute est à l’image de Violaine. Il ne pouvait pas en être autrement.

C’est un beau roman qui vous serre le cœur, je vous le conseille parce qu’il faut toujours croire en ses rêves d’enfant.